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prolegomenes aux histrions

OU LE VERITABLE LUDION DANS L'INTERNATIONALE LET'S TWIST  
 
"le père camus l'a dit à la fanfare et le lendemain tout le pays l'a su" air connu 
quand vient le samedi le grand Zola... 
Ceux qui savent nous devinent, et pour ceux qui ne peuvent ou veulent pas comprendre, nous amoncellerons en friche les explications. 
"Un vent de fronde s'est levé ce matin, je crois qu'il gronde contre le magasin." 
Le désordre qui régnait alors en France ne permit pas à mon père de faire pour mon éducation ce qu'il aurait fait dans un autre temps et ce jeune infortuné sans autre avoir que cinquante francs en papier de nul part c'est nous mon cher colonel. 
Les secours de l'art nous furent inutiles et c'est bel et bien entier que nous récupérerons les croûtes, bien décidés une fois encore, à contrer bizot la momie nova, l'ayatollah Cohn-Bendit et Lio du village : maudites faces de placoplatre, fenêtres sur pvc, au chiotte le pvc, ouvertes sur le nouveau monde diplodocus (un ghetto sexe comme on disait chez libernation) 
Ici, ici opération kangourou et ce roman sonore et trébuchant. 
 
"il faut se souvenir que cette guerre de grand route et de forêt ne ressemblait que trop à un brigandage", le colonel, l'Incohérent et moi assistés de quelques affidés nous engagions alors à réprimer nos vivacités à modérer la fougue de nos caractères, cette idée nous poursuivait sans cesse, nous brûlions de la réaliser, je vais dire ce que nous fîmes pour y parvenir :  
Picolo et Dolto étions en route pour Mézigue City, le temps était crémant et si précipitations il y'eut lieu de craindre, alors ce fut la tombe de gros flacons. 
Chemins faisandés, chausse-trappes, satrape à la charge du raffarin, rien ne manqua à l'égayement du périple, pas même la mobilité des passions, ni l'ordonnance des rafraîchissements. 
"Pour le cinq étoiles que tu sèmes sur le rebord des mocassins..." 
thank you Jouvin. 
JE NE VEXE ME PAS, JE ME FACHE.  
Ludions des circonstances, nos ennemis les plus avancés rageaient, ils aiment le soldat, point la soldatesque. 
L'écho raseur trépignait : " ils sont trop sûrs, disait-elle, et bon pour le prolétariat". 
Qu'importe, la calenture servit d'inventaire, une espèce d'ahuri que je faillis écraser confirmait enfin : " je les aime, il est vrai, mais je serais malheureux si des liens plus étroits m'unissaient à eux" 
ah gens de Saumur, gens de Saumur, ah laissez-moi dans mon Saumur. 
La dame aux cheveux bleus souriait à la buvette du pays des jeux, lucignolo entreprenait le chat puis le renard sur la nécessité de renouveler et les consommations et la manœuvre, certains connaissaient des danses étranges, d'autres s'observaient devant un bock, mais personne ne songeait à regagner ses Penacs. 
Fringués comme des grandins, sarigues en frasque, le temps fluaient sur nous à la vitesse d'un facteur cheval au galopin.  
Loin des cris d'Onfray, alopécies mort-viviant ( revue sans poils, 32 mots de mémoire, catalogue contre 3 euros chez l'auteur )la mission koala fuyait comme la piste les lavasses où le soir pour tout dédommagement de l'ennui de la journée, un peu de mauvaise musique et un breuvage généralement modifié font officine de dérive de la personnalité pour de jeunes-vieux abrutis de salsa cubiste, bouclettes trip-hop et autres (attrape) fadaises Bristol à la sauce Manchester. 
Virginie Despentes eudelinait de la crête sans comprendre"prout, sentons des pieds comme le keupon Mallarmé, Dieu est Hard-core, les Deschiens sont des pauvres, c'est nul..." 
FERNET LE BRANCA  
on a jamais su c'qu'est devenu Zola il fut mangé cru par Léon Bloy 
Résumé de l'épisode précédent :  
il joue de la trompette, le train part... 
 
"on en boit encore un?" (Malcolm Lowry, sombre comme la tombe ou repose mon ami) 
 
deuxième partie : confessions d'un mangeur d'opprobres 
 
MIDI 
Prenez garde au marchepied; nous poursuivions notre chenin à tombereau ouvert, saignes à l'ars nous hurlions "l'attraction c'est la sentimentalite empaillee", personne ne singeait à nous detendre, nous allions alors nous refugier dans l'auberge d'un relais de diligence. Un bonnet-perruque vieille bêla "top mammouth votre plon-plon, ça le frais comme dans le gros bleu" à l'époque un haut-parleur assumait la plus grande part du dialogue. 
"Le siège appartient aux violents qui le ravissent" alguara l'incohérent, avidement nous nous souvenions que trop des calentures du guilly vert et protégions la stereogustation, à raison: ce machin tue les facheux. 
A l'époque le dérailleur fou souffrait de fréquentes pertes de manoir, je me souviens qu'il y trouvait un agrément extraordinaire quoique trop pesant pour un naturel aussi paresseux que le sien. 
Le colonel soignait une fièvre putride gagnée pendant le siège. 
L'incohérent, quant à lui mangeait. 
CONNAISSEZ VOUS-VOUS Y TROUVEREZ 
Habitants à cheval l'aéronef marsupial menait un train si excessif qu'il serait impossible de les définir, nous étions donc persuades que si la guerre commençait, ce ne pourrait être que par nous. 
J'ouvrais une page au hasard "retirez le parchemin qui recouvre le siècle et éliminez les pantoufles, celles-ci peuvent être dégraisses soigneusement afin de récupérer la chair", je parcourus "disposer le siècle désossé et ouvert sur la planche et le diviser dans sa longueur" ah c'était donc ça le secret du siècle. 
Nous répartîmes décidément bien èquipès à clôturer son compte au garde des slows et jamais à ne lâcher la proie pour londres. 
QU'ON LEUR METTENT DES ADHESIFS COMME AUX CANICHES  
Sur ce, Raoul vend des merguez jospina du chef: "prout tralala, contrairement à la créatine enfance constitutif de la dernière vogue de la submersion lunique, l'armada macropode, agaga beubeu, par son vomi de la conciergerie mitoyenne renvoie au passe ovni du refus de la société du marchandage" 
au loin un huissier de justesse tatin de poly moule frite alcoolique chiait dans une poubelle. 
"Ça va on est venu boire un camion pinard" hurlaient ce qu'il restait de nous dans les arcades de la radiophonie. 
"et nous aussi, après bien d'autres, nous avons été bannis de la fréquence"  
 
 
TROSIEME PARTIE 
"La haine du travail, en ce qui me concerne est si grande que je vais jusqu'à me priver de boire ma bouteille de vin qui est mon habituel carburant. De Toute évidence le paradoxe m'apparaît comme insurmontable? je vais ne rien faire" 
(jean raine, journal d'un delirium) 
 
 
 
 
 
QUATRIEME PARTIE 
"les espérances les plus ridicules et les plus hardies ont été quelquefois la cause de succès extraordinaires" (Vauvenargues) 
 

(c) julien marie lorieux de la manguisserie - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 31.05.2005
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